Un étudiant se présente en pleurs au secrétariat de son département. Visiblement, ça ne va pas. Que faire? «Reconnaître la détresse, c'est déjà quelque chose. Savoir poser les gestes rassurants, c'est encore mieux», résume la psychologue Sylvie Corbeil, qui s'intéresse au sujet depuis plus de 20 ans à titre de clinicienne mais aussi de chercheuse, puisqu'elle a soutenu, en 2005 à l'Université de Montréal, un doctorat sur le deuil à la suite de suicides.
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Non, tu ne veux pas mourir!
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